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A

 

Alpha :

Mesure de la sur-performance d’un portefeuille, d’une action ou d’un titre par rapport à sa performance théorique. C’est une mesure de la capacité d’un gestionnaire à créer de la valeur pour ses clients en étant capable de détecter les titres ou les actions qui rapportent plus qu’ils ne devraient compte tenu de leur risque et ce pour une période donnée.

 

Agence de notation :

Organisme indépendant qui évalue et note la situation financière des différents agents économiques (États, entreprises, institutions…) qui empruntent sur les marchés financiers et, notamment, leur risque de solvabilité. Chaque agence de notation a son propre barème qui influe sur les conditions d’accès aux financements des émetteurs (taux d’intérêt). Les agences les plus connues sont Standard & Poor’s, Moody’s et Fitch Ratings.

 

Agence de notation extra-financière :

Société chargée d’évaluer la politique sociale et environnementale d’un acteur économique. Après analyse, elle lui attribue des notes sur différentes thématiques. Les gérants de fonds ISR (Investissement Socialement Responsable) peuvent utiliser ces notes pour sélectionner les valeurs qui les composent.

 

B

 

Bêta :

Mesure de la volatilité ou de la sensibilité d’un titre financier qui indique la relation existant entre les fluctuations de la valeur et celles du marché. Elle s’obtient en soustrayant la rentabilité de ce titre sur la rentabilité de l’ensemble du marché. En calculant le bêta d’un portefeuille, on mesure sa corrélation avec le marché (l’indice de référence utilisé) et donc son exposition au risque de marché. Plus la valeur absolue du bêta du portefeuille est faible, moins il est exposé aux fluctuations du marché, et inversement.

 

C

 

CAC 40 ESG :

Le CAC 40 ESG est un indice boursier composé de 40 valeurs, sélectionnées en fonction de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), parmi les 60 entreprises présentes dans le CAC 40 et dans le CAC Next 20.

 

Capitalisation :

Valeur d’une société sur le marché boursier à un moment précis. Elle s’obtient en multipliant le nombre d’actions d’une société par son cours de Bourse.

 

Cash flow :

Ensemble des flux de liquidités générés par les activités d’une société. Pour les analystes et les créanciers, il constitue un bon moyen d’appréhender la solvabilité et la pérennité d’une entreprise. C’est également un indicateur permettant de connaître l’aptitude de l’entreprise à financer ses investissements à partir de son exploitation ou encore sa capacité à distribuer des dividendes à ses actionnaires.

 

Code de transparence :

Code national auquel les fonds peuvent adhérer, ce par quoi ils s’engagent à donner aux épargnants des informations exactes, claires, compréhensibles et actualisées pour leur permettre de mieux comprendre les pratiques ESG mises en place.

 

Code de transparence AFG/FIR :

Le code de transparence est la version française, agréée par l’AFG (Association Française de Gestion) et le FIR (Forum de l’Investissement Responsable), des principes directeurs de transparence pour les OPC grand public élaborés par l’EuroSIF. Il procède d’un constat, la difficulté de donner une définition unique de l’ISR (Investissement Socialement Responsable) en dehors de ses modalités d’exercice (la prise en compte de critères extra-financiers dans la constitution des portefeuilles de titres, le dialogue avec les entreprises et l’exercice des droits de vote dans les différents domaines de la responsabilité sociale des entreprises…) et, par conséquent, d’une exigence de transparence accrue vis-à-vis des épargnants sur cette nouvelle forme d’investissement. Ce code a donc pour vocation de fournir une information plus claire sur les OPC se revendiquant de l’ISR.

 

Code ISIN :

Numéro d’identification international d’un OPC permettant le traitement informatique. Le code ISIN est une norme internationale, les initiales ISIN signifiant « International Securities Identification Numbers ». Chaque titre financier dispose d’un identifiant unique, qui doit être précisé dans l’ordre de Bourse. Ce code se décompose en deux lettres correspondant au pays d’émission du titre (FR pour la France) suivies de 10 chiffres.

 

Commission de sur-performance :

Une commission de surperformance peut être prélevée : elle permet de rémunérer la société de gestion lorsque le placement collectif a dépassé son objectif de performance préalablement fixés. Le taux est indiqué dans le prospectus de l’OPC et la commission de performance prélevée est mentionnée dans le DICI (Document d’information Clé de l’investisseur).

 

Critères ESG :

Désigne l’ensemble des critères  extra-financiers (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance). A titre d’exemple, les principaux critères d’analyse des entreprises sont : les politiques sociales, la qualité de la présence dans les pays en développement, les politiques environnementales, la gouvernance, le respect des droits de l’Homme, les relations nouées avec l’ensemble des parties prenantes (clients, fournisseurs, communautés locales, sociétés civiles, actionnaires…).

 

Critères extra-financiers :

Ce sont tous les critères permettant d’évaluer un acteur économique en dehors des critères financiers habituels que sont la rentabilité, le prix de l’action, les perspectives de croissance…. C’est-à-dire qu’ils prennent en compte son impact sur l’environnement et la société, la gestion des ressources humaines ou encore le traitement des actionnaires minoritaires par exemple.

 

D

 

Delta :

Indicateur qui mesure la sensibilité de la prime d’une option par rapport à un déterminant donné (le cours du sous-jacent, le temps, la volatilité).

 

DICI (Document d’Information Clé de l’Investisseurou KIID (Key Investor Information Document) :

Document remis aux investisseurs en OPC (Organisme de placement collectif : OPCVM, FCP, SICAV…). Le DICI présente en deux pages les informations essentielles sur le produit ( stratégie d’investissement, performances passées, risque du placement, frais, etc…). Document standardisé au niveau européen, il permet de comparer rapidement les caractéristiques principales de différents OPC français ou européens. Ce document pré-contractuel doit être remis à l’investisseur préalablement à sa souscription. Il lui permet de prendre sa décision d’investissement en toute connaissance de cause. Il est également recommandé de lire d’autres documents en complément, notamment le prospectus qui contient des informations plus détaillées sur l’OPC.

 

Duration :

La duration d’une obligation correspond à la période à l’issue de laquelle sa rentabilité n’est pas affectée par les variations de taux d’intérêt. La duration apparaît comme une durée de vie moyenne actualisée de tous les flux (intérêt et capital).

 

Durée de placement recommandée ou horizon de placement :

Durée pendant laquelle il est recommandé de détenir un produit financier. Cette durée dépend du projet que vous souhaitez préparer avec l’épargne placée. Généralement, on distingue trois horizons de temps : le court terme, le moyen terme et le long terme.

 

E

 

Empreinte carbone :

Mesure du volume de dioxyde de carbone (CO2) émis par combustion d’énergies fossiles, par les entreprises ou les êtres vivants. Le calcul de l’empreinte carbone aide à définir les stratégies et les solutions les mieux adaptées à chaque secteur d’activité et de participer ainsi plus efficacement à la diminution des émissions de gaz à effet de serre.

 

F

 

Frais d’entrée :

Lors de la souscription d’un OPC, des droits d’entrée (ou de souscription) peuvent être prélevés. Ces frais diminuent le montant de l’investissement initial.

 

Frais de sortie :

Des frais de sortie (ou commissions de rachat) peuvent être prélevés à la revente de parts d’ OPC. Ces frais diminuent la somme perçue lors de la vente des parts.

 

Frais courants :

Les fonds appliquent des frais de gestion et de fonctionnement : les frais courants et de fonctionnement rémunèrent les services des gérants et de la société de gestion. Les frais courants sont directement déduits du calcul de la valeur liquidative, qui est publiée nette de frais annuellement dans les DICI. Ils sont déduits de la performance affichée. Le prospectus détaille les différents frais appliqués aux fonds.

 

Frais de gestion :

Les frais  de gestion rémunèrent le service des gérants et de la société de gestion. Ils sont prélevés au prorata temporis tous les jours et sont déduits de la valeur liquidative de l’OPC.

 

G

 

Green bond ou obligation verte :

Titre de dette émis sur un marché financier et destiné à financer des projets de lutte contre le réchauffement climatique, de soutien à la transition énergétique, etc. Les obligations vertes sont un levier du financement des projets de transition énergétique.

Les objets de financement doivent être en rapport au minimum  avec une ou plusieurs des 5 catégories environnementales. ( cf critères  en ligne avec le guide de bonnes pratiques d’émission d’une « green bond » définies par les Green Bonds Principles.)

 

H

 

High Yield :

Obligation ou crédit dont la notation est inférieure à la catégorie « Investment grade », du fait de son risque de défaut plus élevé. Le taux de rendement de ces titres est généralement plus élevé.

 

I

 

Indicateur de référence ou benchmark :

Indice boursier (le CAC 40 par exemple) ou composition d’indices que le gérant de l’OPC essaie de suivre dans sa gestion.

 

Investment grade :

Titres dont la notation va de AAA à BBB- selon Standard & Poors et Fitch Ratings ou de Aaa à Baa3 selon Moody’s ou jugée équivalente par la société de gestion, présentant un risque de défaut généralement relativement faible.

 

ISR :

L’investissement socialement responsable (ISR) permet d’investir dans des OPC qui prennent en compte, en plus des critères financiers, des critères extra-financiers de type ESG (Environnementaux, Sociaux, et de Gouvernance). Les actifs gérés de manière responsable concernent généralement les actions et obligations cotées mais aussi, selon des modalités spécifiques de l’OPC, l’immobilier ou le capital investissement.

Ces placements  financent des entreprises et des entités publiques contribuant au développement durable quels que soient leurs secteurs d’activité. Ils allient performance économique, et impact social et environnemental.

 

L

 

Label :

Un label est un signe de qualité qui s’applique aux produits et sur lequel les consommateurs peuvent s’appuyer pour faire leur choix. En matière de finance durable, il existe trois labels en France : le Label ISR, le Label GreenFin et le label Finansol. Toutes les sociétés de gestion peuvent demander à faire labéliser leurs fonds.

 

Label Finansol :

Il concerne exclusivement les produits d'épargne solidaire, c'est-à-dire qui financent des activités de lutte contre l'exclusion, de cohésion sociale ou de développement durable (logement, emploi, environnement, solidarités internationales, etc.).

 

Label GreenFin :

Créé par le ministère de l’Environnement, il veut garantir la qualité « verte » des placements financiers, en raison de leurs pratiques transparentes et durables et est orienté vers le financement de la transition énergétique et écologique. Ce label a la particularité d’exclure les fonds qui investissent dans des entreprises opérant dans le secteur du nucléaire et des énergies fossiles.

 

Label ISR (Investissement Socialement Responsable) :

Il permet d'identifier des placements responsables et durables. Créé et soutenu par le ministère des Finances, ce label garantit aux investisseurs que le fonds a développé une méthodologie d'évaluation des acteurs financiers sur la base des critères ESG, et qu'il les intègre dans sa politique d'investissement.

 

M

 

Maturité :

La maturité d’un titre financier est l’espace de temps qui sépare aujourd’hui de la date d’échéance finale de ce titre, date à laquelle il disparaîtra définitivement.

 

N

 

Notation extra financière :

Notation de la politique environnementale, sociale et de gouvernance des acteurs économiques qui met en évidence leur niveau d’implication face aux enjeux environnementaux, sociaux et liés à leur gouvernance.

 

O

 

Obligation :

Part d’un emprunt émis par un Etat, une collectivité locale ou une entreprise, sur les marchés financiers. Souscrire à une obligation revient à consentir un prêt à un certain taux sur une durée précise (5 ans, 10 ans, 20 ans…) et connue dès le départ. En contrepartie, des intérêts (le coupon) sont versés périodiquement. Le coupon est calculé en fonction de la valeur nominale du titre et du nombre de titres achetés. Le montant de cette rémunération dépend du risque présenté par l’émetteur : plus le risque est élevé, plus le taux d’intérêt est important.

A l’échéance, l’obligation est remboursée : l’investisseur récupère sa mise de départ, sauf en cas de faillite de l’émetteur.

 

Il existe plusieurs types d’obligations.

  • Les obligations à taux fixe : la rémunération (montant du coupon) est connue à l’avance. Elle est fixée lors de l’émission et ne change pas pendant la durée de vie des titres.
  • Les obligations à taux variable : le montant du coupon varie selon l’évolution des taux du marché.
  • Les obligations indexées : le taux d’intérêt est fixe, mais le montant du capital auquel ce taux d’intérêt s’applique évolue en fonction d’un indicateur déterminé contractuellement à l’émission : il s’agit en général du taux d’inflation dans une zone géographique donnée.
  • Les obligations à coupon zéro : aucun coupon n’est généré, les intérêts sont versés en totalité à l’échéance de l’emprunt après avoir été capitalisés sur toute la durée de vie de l’obligation.

 

OPC (Organisme de Placement Collectif) :

Produits d’épargne collectif  dans lesquels les investisseurs mettent en commun leur épargne pour investir dans un portefeuille de valeurs mobilières (actions, obligations, autres OPC…). Il existe deux catégories d’OPC : les OPCVM (Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières) qui sont commercialisables dans toute l’Union européenne et les FIA (Fonds d’Investissement Alternatifs) qui sont les autres placements collectifs commercialisés en France.

 

Ils peuvent prendre deux formes juridiques :

  • FCP (Fonds Commun de Placement):

Copropriétés de valeurs mobilières dont les parts sont émises ou rachetées à la demande des investisseurs ; ceux-ci n’ont pas la qualité d’actionnaire car le FCP n’a pas de personnalité morale. On parle de porteur de parts. Ces parts sont aussi considérées comme des valeurs mobilières. La gestion du FCP est assurée par une société de gestion qui agit au nom des porteurs et dans leur intérêt exclusif.

  • SICAV (Société d’Investissement à Capital Variable):

Sociétés anonymes dont le capital varie périodiquement en fonction des apports et des retraits des investisseurs. Le souscripteur est un actionnaire et souscrit donc des actions de SICAV. La gestion financière est déléguée à une société de gestion.

 

OPC de partage :

Placement collectif qui s’engage à verser un don directement ou indirectement, à un ou plusieurs organismes prédéterminés, selon des modalités définies par ses documents réglementaires. L’OPC de partage répond aux exigences de la position AMF 2012-15 relative aux OPC de partage.

 

P

 

Performance annualisée :

Conversion de la performance d’un investissement en base annuelle.

 

Portage :

Achat d’actions d’entreprises avec contrat de revente ultérieur, par exemple à d’autres actionnaires, leur assurant ainsi un financement-relais dans l’attente qu’ils puissent en devenir propriétaires.

 

Prospectus d’OPC :

Document soumis à l’approbation de l’Autorité des Marchés Financiers.Il contient des informations précises sur les risques identifiés de l’OPC, sur ses modalités de fonctionnement et ses caractéristiques. Le règlement ou les statuts du fonds peuvent également s’y ajouter.

 

R

 

Rapport (ou reporting) extra-financier :

L’article 173 de la loi sur la transition énergétique du 17 août 2015 oblige notamment les sociétés de gestion à expliquer comment elles prennent en compte les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) quand elles sélectionnent les valeurs qui figurent dans les fonds qu’elles proposent.

 

Rating :

Notation financière permettant de mesurer la qualité de la signature de l’emprunteur (émetteur de l’obligation). Le rating est publié par les agences de notation et offre à l’investisseur une information fiable sur le profil de risque attaché à une créance.

 

Ratio de Sharpe :

Mesure du couple rendement/risque du portefeuille ou de son indicateur de référence. Il correspond à l’écart entre la performance annualisée de l’OPC (ou de son benchmark) par rapport au rendement annuel du taux sans risque, divisé par la volatilité de l’OPC (ou de son benchmark).

 

Rendement (taux de):

Le taux de rendement d’un placement prend en compte le revenu procuré (les intérêts et autres gains) et l’éventuelle variation, à la hausse ou à la baisse, de sa valeur. Il s’exprime en un pourcentage annuel.

 

Risque de crédit :

Estimation de la capacité financière de l’établissement qui a conçu ou qui garantit le produit à rembourser son détenteur. Le plus souvent, pour les fonds d’investissement, ce risque est nul. Toutefois certains produits, comme des fonds à formule, garantissent le remboursement par un établissement. Dans ce cas, le risque de crédit du produit est défini par la capacité de ce « garant » à assurer cette garantie.

 

Risque de marché :

Risque représentatif de l’ampleur des hausses et baisses, observées dans le passé, du marché sur lequel le produit est investi (par exemple, le marché immobilier ou les actions d’entreprises françaises ou européennes). Plus les hausses et les baisses sont fréquentes ou importantes, plus la probabilité de constater une perte à certains moments est grande.

 

Risque de perte en capital :

L’OPC ne bénéficie d’aucune garantie ni de protection. En conséquence, le capital initialement investi peut ne pas être intégralement restitué.

 

Risque de liquidité :

Représente la baisse de prix que l’OPC devrait potentiellement accepter pour devoir vendre certains actifs pour lesquels il existe une demande insuffisante sur le marché. 

 

RSE :

La Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) consiste à mettre en œuvre des mesures pour respecter les enjeux du développement durable. La RSE est donc le fait, pour un acteur économique, d’être économiquement viable, d’avoir un impact positif sur la société mais aussi de mieux respecter l’environnement. 

 

S

 

Sensibilité d’une obligation :

Mesure du risque induit par une variation donnée du taux d’intérêt. Une sensibilité taux de + 2 signifie que pour une hausse instantanée de 1 % des taux, la valeur du portefeuille baisserait de 2 %.

 

Spéculation :

Opération qui vise à miser sur l’évolution future d’une valeur (une action, un bien, une monnaie…) dans l’espoir de percevoir un profit financier. La spéculation entraîne une prise de risque qui peut se traduire par une perte financière.

 

Spread :

Ecart entre le taux de rendement d’une obligation et celui d’un emprunt « sans risque » de même durée. Il représente le supplément de rémunération (la « prime de risque ») que l’émetteur doit offrir à l’investisseur pour rémunérer le risque  qu’il prend en investissant dans son titre. Plus l’investissement est risqué, plus la prime de risque offerte doit être élevée.

 

SRRI (Indicateur synthétique de risque et de rendement ) :

Indicateur de risque qui permet à l’investisseur d’avoir une idée du risque de perte liées aux performances futures du produit sur la durée de vie recommandée. Il est basé sur une échelle allant de 1 à 7, du niveau de risque le plus faible (ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas de risque), au plus élevé.

Le score indiqué combine deux types de risques : le risque de marché et le risque de crédit.

 

V

 

Value at risk (VaR) :

Perte potentielle maximale d’un investisseur sur la valeur d’un portefeuille d’actifs financiers compte tenu d’un horizon de détention (20 jours) et d’un intervalle de confiance (99 %). Elle est représentée en pourcentage de l’actif total du portefeuille. Elle se calcule à partir d’un échantillon de données historiques (sur une période de 2 ans).

 

Valeur liquidative (VL) :

Prix d’une part ou action d’un OPC (Organisme de Placement Collectif). Elle reflète la valeur des actifs détenus dans le portefeuille. C’est à partir de cette valeur que l’on détermine le prix de souscription (prix d’achat) et de rachat (prix de vente) d’une part ou action de l’OPC.

 

Volatilité :

Amplitude de variation d’un titre, d’un fonds, d’un marché ou d’un indice sur une période donnée. Une volatilité élevée signifie que le cours du titre varie de façon importante, et donc que le risque associé à la valeur est grand.